Samedi soir à Lanta (stade Jean Marti), Lauragais FC – Beauzelle : 0-0 (5 tab 4)
Composition du Lauragais FC:
Kukzec – Isoardi.C, Quittot, Murat, Bernat – Assemat, Gierkowski, Enoux.P – Morgoun(puis Spada 46′), Carré, Rigal(puis Giraudo 65′)- non entré: Isoardi.D
L’essentiel est souvent de se qualifier dans les matchs de coupe, ça a été le cas ce samedi soir au Stade Jean Marti de Lanta pour l’équipe fanion du Lauragais FC. Effectivement, avec la récéption du Beauzelle FC, au recrutement estival Qatari, les joueurs du néo coach Trogant, se devaient d’etre à la hauteur. Au final, on aura droit a un match haché par les fautes, au jeu quasi inexsitant des 2 équipes, l’equipe locale n’arrivant que trop peu souvent à se faire plus de 4 passes et l’equipe adverse abusant de longs ballons. Les supporters auront quand même la chance de voir quelques occasions, Guillaume Rigal héritant d’un ballon à l’entrée de la surface voit sa frappe bien captée par le gardien de Beauzelle, et Fabien Kukzec obligé par 2 fois à s’employer pour détourner de belles frappes aux 20m des adversaires du soir. A part ça, les jeunes Lauragais subissent la rencontre mais ne plient pas. On se dirige vers une séance de pénalty apres 30 autres minutes pénibles à regarder pour les gens venu en nombre pour ce 2eme tour de la coupe de France. Ce dernier acte verra les bleus et blanc l’emporter 5-4, avec 3 penalties stoppés par le gardien local, une spécialité pour lui, de ce qu’on sait…
Réaction de Thibaut Trogant : « c’est surement pas le meilleur match de football qu’on a vu ce soir, difficile de mettre notre empreinte, avec ce terrain et cette équipe adverse. On a subit tout le match mais notre force mentale et notre solidarité nous permettent d’être imperméables dans ce genre de rencontre. Coup dur à l’ehauffement où on perd Philippe Bombail, des plans à revoir du coup, on retient la qualification qui aidera pour la suite dans les têtes. Coup de chapeau à Kukzi pour la séance de péno, je savais qu’il etait bon dans cet exercice, il l’a encore prouvé. Mention spéciale a Gierko qui aurait pû attendre dimanche matin pour tuer un pigeon«